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Sucre, amour et fantaisie… 

Découvrir l’art de la confiserie, c’est aussi se nourrir de traditions et légendes anciennes, comme celle qui veut que le mille-feuille Santa Rosa soit né dans le couvent de Santa Rosa, à Capo di Conca dei Marini…
 Déguster le riche assortiment qui se produit le long de la côte, à la découverte de recettes originales ou nouvelles… Visiter les nombreuses pâtisseries de Vietri, Minori, Amalfi, Positano, Sorrento et Vico Equense… Découvrir les anciennes pâtisseries historiques qui existent encore : De Riso (Minori), Pansa (Amalfi), La Zagara (Positano); Gelateria Gabriele (Vico Equense)... 

Les maîtres-confiseurs et les maîtres-pâtissiers qui se trouvent sur cette portion de terre appelée « Terra delle Sirene », qui va de Sorrente à Maiori, inventent sans cesse de nouvelles recettes ;
 de leurs intuitions bienheureuses, aux ingrédients authentiques et gourmands, la tentation n’est pas purement théorique ; les gourmands du monde entier sont prévenus ! 

La voie des saveurs – Déguster les différents produits 

À Amalfi, sur la très centrale piazza Duomo, le temple de l’art confiseur a un seul nom :
 pansa. La pâtisserie est l’une des plus anciennes (cinquième génération) et, en 2001, elle a été inscrite, à très juste titre, dans le prestigieux guide des lieux historiques d’Italie. La Pâtisserie Pansa vient en tête de cette patrouille fournie de ces diables tentateurs de l’art pâtissier qui sévit le long de la Côte Amalfitaine. Laissez-vous séduire, laissez-vous tenter par les petits gâteaux aux agrumes ou les Génoises au beurre… 

À Positano, règne sur la pâtisserie « La Zagara » avec ses tartelettes aux fruits :
 de savoureuses fraises des bois garnissent les petits gâteaux farcis à la crème que le célèbre bar, situé à deux pas de la piazza dei Mulini, expose dans ses vitrines le long de la descente du « Palazzo ». Le “Mulino Verde” fait aussi bon usage de fruits : à déguster ses légendaires profiteroles au citron.

Le prince des délices, comme toujours, c’est Salvatore De Riso.
 Son fief est Minori d’où il continue à enchanter les palais avec son gâteau de fromage « ricotta » aux poires ; son autre cheval de bataille est sans aucun doute une autre des pâtisseries les plus typiques de l’été, en même temps que le « soufflé ensorcelé » (stregato) : il s’agit d’un nouveau gâteau, réalisé à base de la liqueur “Strega” de Bénévent, et exclusivement fourré de crème à la liqueur. La « delizia limone » est le plus « jeune » gâteau de la longue série que l’on découvre dans les meilleures pâtisseries de la Péninsule de Sorrente. 

Mais revenons à la tradition :
 le pilier de l’histoire pâtissière de la Campanie est la « Pastiera », un classique, (un gâteau à base de ricotta parfumé au citron ou à l’orange), qui se mange à Pâques et qui est un véritable rituel avec des temps et des modalités bien précis : la préparation se fait rigoureusement le jeudi avant Pâques. Avant, on cuisait les « pastiere » dans le four du quartier ; en début d’après midi, quand la température du four avait baissé un peu, les gens du quartier venaient y cuire leurs gâteaux. 

Les familles s’échangeaient la « pastiera » en don pascal de bonne augure, et la tradition continue encore aujourd’hui.
 

Les brioches de la société « F.
lli Baino », à S. Antonio Abate, satisfont les palais les plus exigeants, car ils ne contiennent pas de graisses animales, ni de conservateurs ou de colorants. 

La pâtisserie sèche est la “pièce de résistance” de leur tradition culinaire.
 L’aspect élégant, le travail fin, l’inimitable saveur en font une friandise indiquée pour toutes les occasions : tous différents, les uns des autres, les biscuits sont garnis de fruits confits, d’amandes, de grains de sucre, de dragées ou de copeaux de chocolat. 

La spécialité typiquement napolitaine est les « struffoli », petites boules de farine frites et plongées dans un coulis de miel doré.
 Selon la tradition, ils remontent à la fondation de Parthénope. Ils étaient préparés dans les couvents et portés en don aux familles nobiliaires de la ville, parce que c’est le dessert typique des grands banquets de Noël, dont certains disent même qu’ils sont aphrodisiaques. 

Les “susamielli” ont la forme d’un “s”.
 La pâte est la même que pour les « roccocò », mais ils sont plus moelleux, grâce à l’ajout de miel. Enfin, une fête toute à déguster avec curiosité et esprit critique est celle des aubergines au chocolat de S. Maria la Carità. C’est un rendez-vous fixe des chaudes journées d’août quand les aubergines sont au maximum de leur douceur et les cueillir pour les plonger ou les farcir de chocolat est vraiment un délice rare…

Structures d’accueil 

Le long du parcours, le touriste trouvera nombre d’occasions de faire des haltes pour se ressourcer :
 bars, pizzerias, pizzetteria (vente de morceaux de pizza à emporter), pubs et restaurants… Des solutions pour tous les goûts et toutes les exigences. 

Vue d'en haut, du haut de son ciel d'un bleu pur et inoubliable, elle apparaît blanche de craie, inaccessible.
 D'une beauté sauvage, à couper le souffle, qu'aucun ne pourrait altérer. Et si l'expression « paradis terrestre » a un sens, c'est ici qu'elle le trouve et le révèle à tous. « Voici le jardin que nous avons toujours et inutilement cherché, après les lieux parfaits de notre enfance », c'est en ces mots que le poète Salvatore Quasimodo décrivait la Côte Amalfitaine, l'esprit totalement envoûté par la splendeur des lieux. Un véritable Eden où, d'après d'antiques légendes, mère nature retint et développa les quatre éléments essentiels de la vie, suscitant l'enchantement et émotions pures, d'une main généreuse. C'est ainsi qu'en cette région magique de seulement 42 kilomètres, elle donna à la terre la forme d’une roche dégringolée en mer, en pente douce ou en surplomb, avec ses fjords profonds, ses monts, rochers et promontoires, ses plages de cailloux blancs. À l'eau qui s'infiltre dans chaque cavité, elle offrit les transparences et les reflets verts et bleus, les anses et les marinas où, durant des millénaires marins et voyageurs sillonnant cette mer cristalline, firent étape, trouvant là refuge et bien-être. L'air pur et calme des belvédères érodés par le vent, qui s’ouvrent sur ce panorama, tel un fragment d'infini, se chargea de senteurs et de parfums intenses : des embruns, caresses de la mer sur la peau, à la fragrance naturelle des jardins, regorgeant de fleurs et de plantes. Enfin, le feu vital d'un soleil éternellement chaud et attirant fut pulvérisé en millions de petites étincelles qui devinrent des fleurs de genêt ou, mieux encore, des fruits précieux disséminés dans l'épaisse végétation, dans le sombre du feuillage de milliers de plantations d'agrumes, colorant de vert, jaune et rouge les douces terrasses arrachées aux montagnes pour cultiver des trésors ainsi faits. « Connais-tu, toi, la terre où fleurit le citron ? » Chantait le poète. Et ce fruit, signe de jeunesse éternelle, de la vie qui fleurit en éternel devenir, représente depuis toujours le symbole le plus fort de cette côte des merveilles. Arbre de vie, plante de l'amour (« Citronnera. L'instant de mes rêves », chante le poète. « Citronnera. Nid de graines jaunes. Seins nourrissant les brises de la mer..et si Vénus, déesse de l'amour, naquit dit-on d'un coquillage sur la mer, voici que, épiée d'en haut, cette côte ressemble réellement à un coquillage, avec des montagnes froncées, pour coquilles, parmi lesquelles apparaissent çà et là de petites perles précieuses, d'une incroyable beauté : un village pittoresque caché, une montée d'escaliers téméraire grimpant pour unir, semble-t-il, la mer et le ciel, la coupole ornée de maïolique d'une église, une noble villa, une grotte cachée, couleur émeraude, une inoubliable terrasse fleurie…

Mais au-delà de la reconnaissance de poètes, artistes et voyageurs du monde entier, cette unicité qui est la sienne, ce sens évident du pouvoir de la nature sur l'homme, lui a valu des reconnaissances de niveau mondial.
 Il existe au monde un peu plus de 800 sites définis par l'Unesco « patrimoine universel ». Et, depuis 1997, la Côte Amalfitaine (qui représente le versant méridional de la péninsule qui sépare le golfe de Naples de celui de Salerne) en fait partie, considérée comme un exemple exceptionnel de paysage méditerranéen, avec un environnement de valeur naturelle, culturelle et historique considérable. 

Navette continue, la Nationale 163 la parcourt, suivant un tracé des plus pittoresques et spectaculaires d'Italie.
 En effet, la route gagnée sur la roche, parsemée çà et là d'oliviers, vignes et plantations d'agrumes, épouse la sinuosité de la fortification, longe la mer et relie, l'un après l'autre, les adorables villages qui composent la côte. 

Élégante et simple, belle et hospitalière, aujourd'hui 

Positano est une destination touristique internationale de première importance, mais fut habitée depuis le paléolithique, comme en témoignent quelques vestiges archéologiques découverts des années auparavant.
 Et si dans le passé ce n'était que grottes, dès la deuxième moitié du siècle dernier, son ascension au firmament de la notoriété commença. Tout fascine ici : la nature, la cuisine, les loisirs, le shopping... Abritée dans une petite conque discrète, elle dévoile aux visiteurs arrivant de la mer son visage particulier : une succession de maisonnettes impeccables et colorées, plaquées à la roche. Comme une crèche enracinée à la montagne. Une cascade pittoresque coulant vers la côte, de fenêtres et de balcons, de pergolas fleuries, de terrasses et de jardins descendant vers la plage, qu’interrompent çà et là les escaliers typiques sculptés dans la roche. 

Face à sa baie, de minuscules mais pas moins célèbres rochers :
 Li Galli, qui, selon la tradition, furent la résidence des mythiques sirènes, fascinantes et monstrueuses séductrices mi-femmes mi-poissons. Les amants du mystère religieux trouveront sujet de discussion sur la montagne de Montepertuso, qui domine le centre habité de Positano. Le trou gigantesque qui traverse la cime serait en effet l'empreinte du doigt de la Vierge, défiée par le diable de traverser le rocher... 

Sans rhétorique, Furore est une émotion de l'âme.
 Une expérience à ne pas manquer : la visite du fjord dont le nom correspond à un précipice terrifiant et fascinant, à l'abri des armées terrestres, mais pas de la violence des lames, amplifiées dans leur mugissement par les parois escarpées du fjord. Un abîme à couper le souffle et qui démontre manifestement cette bouleversante et affligeante implication des sens que philosophes et poètes appelaient « horreur vacui ». 

Ceux, par contre, qui fuient toute mondanité et qui apprécient l'intimité d'un village de pêcheurs, trouveront, à Praiano, localité voisine et cœur de cette côte, un village discret mais bien desservi sur le plan touristique, avec une délicieuse marina, une plage mouillée par une mer d'un bleu intense et séduisant.
 C'est précisément ici que les anciens doges de la puissant et voisine République d'Amalfi passaient leurs vacances. 

De même, le village typique de Conca dei Marini, paisible et agréable, escalade les arêtes rocheuses, paresseusement étendu sous le soleil côtier et sous la surveillance d'une remarquable tour sarrasine âgée de cinq siècles.
 Mais le vrai joyau de cette localité est la « Grotta dello Smeraldo » (la Grotte de l'émeraude), véritable spectacle de stalactites et stalagmites sur fond magique d'une mer à laquelle la lumière donne une couleur exceptionnelle rappelant vraiment le vert de cette pierre précieuse. Les gourmets et amateurs de bonne chair seront heureux d'apprendre que c'est justement ici que, mi XVIIIème, les sœurs « savantes » du Couvent de Santa Rosa inventèrent le gâteau napolitain par excellence : « la sfogliatella », dont la version originale prévoyait une garniture très moelleuse de ricotta et fruits confits, accompagnée de confiture de griottes. 

Amalfi fut une République glorieuse au Moyen-âge ;
 ses bateaux sillonnaient la Méditerranée, commerçant allègrement avec des peuples de cultures et religions différentes. Aujourd'hui, alors que ces rapides vaisseaux ont disparu, les marins et marchands ont transmis à leurs descendants cet esprit de communication et d'ouverture à l’égard d'autres peuples. Ils sont devenus des hôtes attentionnés et accueillants, faisant de leur ville l'une des stations balnéaires les plus célèbres d'Italie, appréciée pour ses incomparables beautés, son climat tempéré, sa gastronomie et les monuments prestigieux comme la cathédrale, où l'on vénère les miraculeux restes de l'un des apôtres de Jésus, le pêcheur André (frère de Pierre). 

Atrani, minuscule et fascinante, illustre comment le paysage de la divine côte peut être un vertige de beauté, avec des villages comme celui-ci, situés en des lieux exigus, à la sortie de quelques vallées abruptes, coupées par des sentiers pittoresques, fines lames telles de minuscules cicatrices dans la roche, ou par des escaliers à pic sur la mer, qui se mire, tel Narcisse, dans des grottes et vallons.
 

Embelli par des plantes exotiques, des arbres et des fleurs, Ravello est une terrasse fleurie ouverte sur la mer et sur la côte jusqu'à Paestum, de la hauteur de laquelle tout semble un rêve.
 Un noble joyau, célèbre pour ses villas de style arabo-sicule ; pour son histoire, dont témoignent de superbes édifices et pour la musique qui, en mémoire du puissant Wagner (qui séjourna ici) attire chaque année les passionnés et les mélomanes à l'occasion d'un prestigieux festival de renommée mondiale. 

Entre châtaigneraies et forêts de chênes et de chênes verts, qui enrichissent incontestablement le panorama, beaucoup aiment passer leurs vacances dans le paisible et accueillant village de Scala, qui, parmi ses illustres enfants, est fière d'avoir vu naître Frère Gérard Sasso, fondateur du puissant et encore présent Ordre de Malte.
 

Minori offre une jolie petite plage, mais les passionnés d'antiquités romaines peuvent visiter une grande villa bien conservée, surtout au niveau des thermes et des systèmes hydrauliques et de chauffage, témoignant de l'habileté et du savoir des architectes romains.
 Entourée de jardins parfumés et de terrasses plantées d'agrumes, disposés en amphithéâtre à la sortie d'une vallée, la côte Maiori présente par contre une plus grande plage de sable très fin, particulièrement appréciée des touristes, aussi comme station balnéaire. 

Tramonti est une commune toute à découvrir, dont l'origine remonte au temps des Romains.
 Située entre les montagnes, elle est composée d'au moins treize bourgades, disséminées entre vignobles, châtaigneraies et les immanquables citronneraies de la côte. D'autres atmosphères, simples et familiales, selon le rythme lent et rassurant d'autres époques, se respirent à Cetara, pittoresque village de pêcheurs, au minuscule lido protégé par une élégante tour sarrasine. Les visiteurs de Vietri découvriront un village accueillant, une autre charmante crèche de cette divine côte, dont les maisons irréprochables semblent une blanche cascade dégringolant vers la mer ; mais ils pourront surtout s'émerveiller devant la remarquable production de céramiques, un art ayant atteint des niveaux très raffinés déjà à l'époque pré-romaine, et exporté dans le monde entier. 

Enfin, si l'un des majeurs attraits de la côte Amalfitaine se trouve dans le contraste entre les rudes montagnes et la mer aux mille nuances scintillantes, c'est dans les montagnes et la végétation luxuriante que nous découvrirons le dernier point de ce territoire enchanté :
 Cava dei Tirreni, dont les portiques médiévaux caractéristiques du vieux bourg sont uniques dans toute l'Italie méridionale ; là, s'élève l'une des plus belles abbayes bénédictines du monde, riche de trésors artistiques, reliques, manuscrits, parchemins et enluminures. Parce que la divine Côte Amalfitaine renferme mille ressources, qualités et talents pour un agréable séjour et une découverte touristique inoubliable. Vous découvrirez en fait qu'elle est un bonheur et une grande expérience non seulement pour les yeux, le cœur et le palais, mais aussi pour l'âme et l’esprit. 

 

 

 

 

 

 

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La fête de Noël en Italie dure 3 jours, du 24 au 26 décembre. Le 26 décembre, la fête de saint Etienne, est fériée en Italie. 

La crèche est originaire d'Italie. Comme reproduction de l'étable, est apparue en Italie dans les églises au XV° siècle. Les crèches familiales se sont développées au XVII° et XVIII°, particulièrement avec les crèches napolitaines très raffinées. Selon la tradition, les familles italiennes l'installent neuf jours avant la naissance du Christ. Le sapin de Noël se fait le 08 décembre par tradition. (un jour férié en Italie) 

Les traditions de Noël varient d'une région à l'autre. Dans le nord de l'Italie, c'est le Père Noël, "Babo Natale" ou le Petit Jésus, "Gesu Bambino" qui apportent les cadeaux le 25 décembre. 

À Rome et en Italie du sud, c'est "la Befana" qui apporte les jouets pendant la nuit de l'Épiphanie. La Befana est une sorcière âgée, mais très gentille. 

Ailleurs, c'est Sainte Lucie, le 13 décembre. Selon la légende, sainte Lucie apportait de la nourriture à ses amis chrétiens cachés dans les catacombes. 

Pas de Noël en Italie, sans le traditionnel "Panettone". Ce gâteau aurait vu le jour vers 1490 à Milan, mais bien vite on l'adopta dans toute l'Italie. Les Italiens dégustent aussi le Pandoro dont la popularité suit de près celle du Panettone, il est d'origine plus récente. Le gâteau typique est le panettone ou le pandoro, et non pas la bûche. 

Les derniers servis devront attendre jusqu'au 6 janvier, date sacrée où Befana, la vieille sorcière aux cheveux blancs, passera. Vêtue de noir avec de vieilles chaussures toutes déchirées, elle se déplace sur son balai et distribue des friandises aux enfants sages et du charbon aux autres. Bien sûr, les enfants veillent à disposer des chaussettes vides dans un coin de la maison pour y accueillir les bonbons. Notons enfin que Befana désigne aussi la fête de l'Epiphanie. 

La crèche napolitaine 

Le phénomène des crèches, commun à l’ensemble du monde chrétien, atteint son apogée au XVIIIe siècle sur un territoire bien précis : le royaume des Deux-Siciles. 

La crèche napolitaine s’est distinguée des autres crèches en quittant l’église pour s’installer à la cour et dans les foyers de la noblesse et la haute bourgeoisie. 

En France, la crèche napolitaine est restée pendant longtemps relativement mal connue : les Français portant le grand intérêt à leur propre tradition. 

Pourtant, la connaissance de l’art napolitain aide à la bonne compréhension des crèches européennes en général et de la crèche provençale en particulier. C’est en effet la crèche napolitaine qui a donné l’exemple de la prolifération de personnages très variés autour de la Sainte Famille, lui valant dénigrements en raison de son caractère exubérant et païen où le sacré et le profane se mêlent. 

Les « Pastor » Bergers terme unique utilisé pour désigner tous les personnages, étaient faits d’un corps d’étoupe cousu autour d’une âme de fil de métal d’une grande souplesse dont la flexibilité permettait d’en varier les attitudes. 

Selon la tradition qui voulait depuis le Moyen-âge, que toute représentation biblique adopte les costumes du temps, les figurines étaient habillées de vêtements, exacte reproduction des costumes nationaux de l’époque, qu’ils soient des différentes provinces du royaume ou de pays lointains. 

Les pieds et les mains étaient sculptés dans le bois puis peints pour donner l’illusion de la peau. 

Après avoir sculpté les têtes également dans du bois, les artistes se tournèrent vers la terre cuite qui offrait plus de possibilités expressives. Aux yeux de sulfure pour encore plus de réalisme, ils n’hésitaient pas à accentuer les traits les plus ingrats sans fausser la pudeur. 

Noël à Venise

Ville unique, ville magique... 1000 ans d'histoire de Venise se déroulent sur les 20 mètres de largeur, 6 mètres de profondeur et 4 mètres de hauteur de la crèche. Deux cents personnages dont beaucoup d'automates, accompagnent une étonnante Sainte Famille installée sur un bateau : Comédie Del art, bourgeois du XVIIIe, gondoliers... Venise va, bouge, court, galope, frémit d'une vie trouble et complexe qui unit, en un seul souffle, sa lagune sombre et son architecture d'anthologie. La musique ajoute à la magie que ressent le spectateur.

La Nouvelle Foire de Rome, siège d'Arts & Métiers Expo », avec ses pavillons modernes et multifonctionnels, est facilement accessible de la ville par les transports ferroviaires et l’aéroport de Fiumicino. 

« Arts & Métiers Expo » représente une vraie solution pour le shopping de Noël dans la capitale italienne. Il se déroule en effet dans la période de l'année où se concentrent les achats des familles et où Rome accueille environ 1.300.000 touristes. 

L'accès au salon est gratuit pour rendre plus attrayante la visite au modernisme artisanal et gastronomique italien et des pays de la Méditerranée, la rencontre avec les créations dans la décoration intérieure, les objets cadeaux artisanaux, les produits gastronomiques et biologiques. 

Une exposition-vente où la tradition, la culture, l’art se rencontrent pour montrer la qualité et les excellences des productions, des producteurs talentueux et passionnés dans les secteurs tels que la mode et ses accessoires, l'ameublement et les techniques artisanales en général, dans lesquelles se fondent les arts et métiers du « fait main ». 

L’offre du salon sera complétée par le Projet « AR comme Artisanat » 2009 et le Prix « l'Excellence des Femmes », remis chaque année à d’extraordinaires Professeurs des écoles, dépositaires des plus anciennes traditions. 

Pour les informations complémentaires, contactez le Service Foires Italie de la CCIFM : 

Tél.: 04 91 90 94 94 – Fax: 04 91 90 41 50 – e-mail : foiresitalie@ccif-marseille.com



Entre religion et figures de légende, le "Natale" italien regorge de coutume pour une fête fervente et gourmande. Au menu :
 panettone, pandoro, befanini...

Alors qu'en France, les fêtes de Noël ont manifestement perdu de leur caractère religieux, il est des pays comme l'Espagne ou l'Italie où les traditions liturgiques sont encore fortement ancrées .
 Cela n'empêche nullement les légendes de se multiplier autour de la Nativité de sorte que, selon sa situation géographique, le personnage et la date varieront pour la livraison tant attendue des bambins. Mais s'il est un domaine qui fait bien l'unanimité, c'est bien celui des agapes.

Les festivités de Noël se préparent en Italie dès le 8 décembre.

Si les petits Italiens disposent d'une pléthore de personnages pour symboliser Noël, les coutumes se rattachent, pour la plupart, à la tradition religieuse.
 L'Avent commence le 8 décembre au pays de Jules César, jour de "l'Immacolata" (Immaculée Conception). Quand en France l'on célèbre la Vierge Marie en disposant à son balcon une rangée de petites bougies, en Italie, on pousse l'effort jusqu'à porter des statues de la Sainte-Mère de place en place. De plus, ce jour est férié et permet de faire son marché au traditionnel "mercato di natale" afin de préparer les fêtes comme il se doit.

La Sainte-Lucie, le 13 décembre, était jadis l'occasion de faire des dons.
 Les enfants du nord de l'Italie lui écrivaient une lettre pour lui demander quelques cadeaux et devaient attendre bien sagement dans leur lit qu'elle passe. Ceux qui avaient tenté de tricher en se levant pour aller l'épier n'avaient droit qu'au sable et au charbon. Comme le Père Noël, Sainte-Lucie appréciait de trouver un verre de lait et quelques oranges en faisant sa tournée, accompagnée de son assistant Gastaldo et de son âne Tobia.

Noël dure 3 jours en Italie.

Le 24 décembre, un dîner maigre est servi, généralement composé de pâtes aux légumes, de poissons et de fruits secs.
 Puis arrive l'heure de la messe de minuit avec ses chœurs d'enfants, les "voici blanche". Les agapes se font le 25 décembre autour du panettone ou du pandoro après que les enfants ont découvert, enthousiastes, si le "Babbo Natale" (l'équivalent de notre Papa Noël) ou si "Gesu Bambino" (le petit Jésus) est passé durant la nuit pour les gâter.

Toute la journée, dans la rue ou au téléphone, résonne les "Buon natale "et "Auguri Auguri !
" Et, en effet, nos voisins transalpins en ont de la chance puisque le lendemain, 26 décembre, est un jour férié. A la Saint-Stéphane, reconnue comme le premier martyr chrétien, l'Italie digère, parade avec son scooter flambant neuf et son dernier sac de chez Giorgo Armani.

Quand vient l'Epiphanie, on célèbre la Befana

"La Befana vien di notte con le scarpe tutte rotte 

La befana vien di notte con le scarpe tutte rotte 

porta un sacco pien di doni da regalare ai bimbi buoni.


Voici ce que chantent les Italiens adulant la généreuse sorcière aux souliers rouges lors de la nuit qui précède le 6 janvier.
 La coutume veut que les enfants qui sont sages reçoivent dans leur chaussette ccrochée près de la cheminée des caramels et du chocolat tandis que les plus dissipés découvrent du charbon (en réalité du sucre noir comestible) à l'intérieur.

Ce jour-là, on prépare de petits biscuits, appelés les befanini, en l'honneur de la sorcière.
 La légende raconte que les Rois mages, en partant à la recherche de l'enfant Jésus, trouvèrent sur leur chemin une vieille femme qui, en dépit de leur demande, refusa de les accompagner. Très vite, la mégère regretta cette décision et se mit en route après avoir préparé une fournée de gâteaux pour se faire pardonner. Or, elle s'égara sur la route de Bethléem, et distribua ses pâtisseries dans l'espoir de frapper un jour à la bonne porte.

Avec l'Epiphanie, qui est aussi la fête de la Befana, l'Italie clôt ainsi les festivités et marque le début d'une nouvelle année.

Quelques idées de recettes pour un menu festif italien

En entrée, jouez la carte fraîcheur avec un carpaccio de concombres à l'aneth.
 Pour ceux et celles qui trouveraient ça un peu léger, vous pourrez aisément accommoder ce plat avec du saumon ou un autre poisson de votre goût.

Pour le plat principal, suivez ici la recette du chef Gualtiero Marchiesi pour un succulent carré de veau jardinier.

En dessert, tentez le pan fort(panforte) qui vous régalera les papilles par son savoureux mélange d'épices, de miel, de fruits secs et de fruits confits.
 Entre le traditionnel panettone, l'indétrônable tiramisu et le florilège des glaces typiquement italiennes, vous n'aurez que l'embarras du choix !


Les légendes associées à Noël
Légende des boules de Noël :

Dans les jours qui suivent la naissance de l'Enfant Jésus, un artiste de rue était très pauvre à Bethléem.
Il voulait aller le saluer, mais il n'avait pas même un cadeau à apporter.
 Après un certain doute décidé d'aller à la grotte et à lui rendre visite. Il lui vint une idée : il a fait ce qu'il faisait de mieux, le jongleur, et la fit rire le petit-enfant.
De ce jour-là pour nous rappeler le rire de l'Enfant Jésus coup de boule de couleur sur l'arbre de Noël.

Légende des boules de sapin

Un petit oiseau brun divisant l'étable de Bethléem avec la Sainte Famille.
 La nuit, alors que la famille dormait, l'oiseau a remarqué que le feu qui les réchauffe était sur le point de s'éteindre.
Donc, pour maintenir au chaud le petit, s'est envolé pour les braises et gardé la flamme ailes déplacer toute la nuit.
 Le lendemain, matin, l'oiseau a été récompensés avec une belle poitrine rouge vif comme un symbole de son amour pour l'enfant Jésus.

La légende de gui :

L'usine de gui utilisé pendant la saison de Noël, est liée à une légende impliquant un très beau vieux marchand.
Il était une fois, dans un village dans les montagnes, un vieux marchand.
 L'homme vivait seul, s'était jamais marié et n'avait plus d'amis.
Le vieux marchand tournait et se retournait, incapable de dormir.
Il a quitté la maison et j'ai vu des gens courir de tous les côtés à la même place.
 Une main lui tendit. Certaines voix s'élevèrent:
-
 Frère, - crié - ne venez-vous pas ?
Frère, frère pour lui ?
 Il n'avait ni frère. Il était un marchand et pour lui qu'il n'y avait pas de clients : ceux qui ont acheté et vendu. Toute sa vie, il avait été cupide et avare et ne se souciait pas qui ils étaient ses clients et ce qu'ils faisaient. Mais où allaient-ils ?
Il s'est déplacé un peu le curieux.
 Il a rejoint un groupe de vieux et enfants. Frère ! Oh, bien sûr, il aurait été agréable d'avoir tant de frères ! Mais son cœur murmura qu'il pourrait être leur frère. Combien de fois les avaient trompés ? Pleurer la misère de vendre plus cher, spéculé sur les besoins des pauvres, jamais ouvertes sa main pour faire un don. Non, il ne pouvait pas être le frère des pauvres gens qui avaient toujours exploité, trompé, trahis. Pourtant, tout marchait à côté. Et ce est maintenant, avec eux, en face de la grotte de Bethléem.
Maintenant, il vit entrer et personne n'était les mains vides, même les pauvres avaient quelque chose.
 Et il n'avait rien, il était riche.
Il est venu à la grotte avec d'autres et s'agenouilla avec les autres.
-
 Seigneur, - dit-il - j'ai maltraité mes frères. Pardonnez-moi. Et il se mit à pleurer.
Appuyé contre un arbre, en face de la grotte, le commerçant a continué à pleurer, et son cœur a changé.
 Lors de la première lumière de l'aube, ces larmes brillaient comme des perles, entre deux feuilles. Il est né le gui.

La légende de rouge-gorge 

Mère oiseau, comme tous les jours, laissé son jeune dans le nid pour aller se procurer leur nourriture.
Pendant le vol, vu sur le dessus d'une montagne
Trois croix, et tant de gens.
 Curieux, approché
et sur la croix centrale a vu un homme cloué
Avec une couronne d'épines sur la tête :
 ce était Jésus.
À l'été prise de la tristesse de voir tant de méchanceté
Et cherché des moyens de soulager la souffrance si grande.
Puis descendu près de la tête de Jésus son bec et a essayé de tirer la prise plus grand.
Il a réussi, mais sa poitrine marques de sang.
Il revient au nid.
Dit aux enfants la triste vision et les embrassa, taché de rouge aussi leur poitrine.
Depuis ce jour, 
Ces oiseaux sont appelés "rouge gorge " dans la mémoire du geste généreux de la mère.

La légende de la canne à sucre :

la fameuse légende de la baguette est faite de sucre, de couleur blanche avec des rayures rouges et a la saveur de menthe.
 La légende veut qu'un pâtissier, il a créé pour nous rappeler Jésus Ce bâton englobe de nombreuses significations. :
-
 Le caramel (qui il a fait le bâton) représente Jésus comme le roc solide sur lequel nos vies sont construites.
-
 La forme d'un "J" représente la forme d'une houlette de berger (Jésus est notre berger.) ou d'aller à Jésus (Jésus).
-
 La couleur blanche représente la pureté et l'absence de péché.
-
 Les grandes rayures rouges représentent le sang du Christ versé pour nos péchés.
-
 Les bandes minces représentent place les marques laissées par les coups de fouet que Jésus a reçu par les soldats romains sur les ordres de Ponce Pilate.
-
 Le goût de la saveur de menthe poivrée rappelle l'hysope qui est une plante aromatique utilisée dans l'Ancien Testament pour purifier.

Légende de le houx :

un petit garçon orphelin vivant à quelques bergers lorsque les anges apparurent annonçant les bonnes nouvelles de la naissance du Christ.
Sur le chemin de Bethléem, l'enfant a tissé une couronne de branches de laurier au roi nouveau-né.
 Mais quand vous le mettez en face de Jésus, la couronne semblait si indigne que le berger avait honte de son don et se mit à pleurer.
Puis l'enfant Jésus a touché la couronne, il fait en sorte que ses feuilles vertes vives brillaient et changée les larmes orphelines dans les baies rouges.

La crèche :

Dans la crèche, la représentation de la Nativité, tout est symbolique :
 l'écurie est la pauvreté et la misère.
Joseph est l'intellect :
 dans la crèche, la représentation de la Nativité, tout est symbolique :
The Ox est le principe générateur (ce est un symbole de fertilité et de fécondité en Egypte.), la force sexuelle ;
 l'âne représente la place de la personnalité, la nature inférieure de l'homme.
L'importance de la présence dans l'écurie du bœuf et l'âne est en fait très profonde :
 attiser l'Enfant Jésus chauffée avec leur souffle.
Le souffle est la vie, donc le souffle de l'âne et le bœuf est une réminiscence de la respiration par laquelle Dieu a donné son âme au premier homme.

 

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